Philippe, 25 ans, Tours : la collègue blonde

Tours : mon adultèreJ’ai 25 ans, je m’appelle Philippe et j’habite à Tours. Je travaille en tant que conseiller d’entreprise dans un open space partagé par plusieurs autres boîtes ; il y a surtout d’autres professionnels libéraux qui travaillent à côté de moi.

Ils ne restent pas longtemps chez nous, d’habitude ils changent tous les deux mois et il y a toujours quelqu’un de nouveau qui arrive. Un jour, elle est arrivée une jolie blonde de 22 ans qui m’a attiré dès le début, et qui a travaillé dans notre open space pendant plusieurs mois.

Je me souviens très bien de la première fois où je l’ai vue… J’ai tout de suite voulu m’asseoir devant elle, car je voulais la connaître… Elle m’a souri, mais elle ne m’a pas adressé la parole.

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Les choses entre nous n’évoluaient pas, et je commençais déjà à perdre mon intérêt. Et puis un jour, un collègue a ramené un gâteau d’anniversaire au bureau. Nous étions en train de manger, chacun assis à notre place et après, à un moment donné, j’ai décidé de prendre une pause, et d’aller m’asseoir dans la zone où l’on reçoit nos clients, avec mon iPad à la main.

Celle-là a été la première fois où nous avons eu l’opportunité de parler. J’avais eu tout de suite l’impression qu’elle ne s’était pas approchée de moi par hasard, car elle n’avait jamais pris une pause depuis qu’elle était venue travailler chez nous.

A vrai dire, de prime abord je ne m’étais même pas aperçu que c’était elle qui me demandait si elle pouvait s’asseoir à côté de moi… Mais ça a été une vraie surprise ! Et ça a suffi pour ranimer mon intérêt. A ce moment-là, ce n’était pas un vrai désir, mais plutôt la curiosité de la connaître.

Nous avons bavardé un peu, et je dois avouer que ça a été la conversation la plus difficile que j’ai eu avec une femme pendant toute ma vie. Ce n’était pas de sa faute, le problème c’était que, même je la connaissais depuis longtemps, je n’avais jamais eu le temps de briser la glace avec elle.

Pendant tout l’automne, les choses entre nous n’ont pas évolué non plus. Ensuite, au début de l’hiver, ma collègue a commencé à faire toujours plus d’heures supplémentaires. Peut-être elle ne savait pas qu’elle aurait pu demander la clé du bureau pour pouvoir faire des horaires plus flexibles, en sortant de temps en temps pour faire des pauses.

En tout cas, il nous arrivait assez souvent de rester seuls au bureau. Au début, chacun travaillait dans son coin, et nous ne parlions pas trop entre nous. Un soir, par contre, tout à coup elle m’a posé une question technique, à laquelle j’ai répondu avec plaisir, car j’avais compris que c’était une excuse pour me parler.

Dans cette période-là, nous faisions toujours plus d’heures supplémentaires, nous bavardions tout le temps, et il nous était toujours plus difficile de nous concentrer sur le boulot. Cet hiver-là, nous passions beaucoup de temps au bureau, et une fois nous y sommes restés jusqu’à une heure de la nuit.

Ce jour-là, ma collègue s’était assise juste à côté de moi vers 10 heures du soir, et nous avions commencé à regarder des vidéos de mon acteur comique préféré, que d’ailleurs elle adorait aussi.

Je dois avouer que cette période-là était assez frustrante pour moi, car je savais que je lui intéressais : sans aucune fausse modestie, je sais que je suis un beau gosse. De plus, à cause de mon travail, je suis toujours habillé de façon élégante et soignée. Cependant, les choses avec ma collègue n’évoluaient pas. Nous parlions de beaucoup de choses, de nos vies privées, de nos problèmes…

Moi, je l’admirais beaucoup. Elle avait réussi dans son métier grâce à ses capacités et grâce au travail acharné, et elle était devenue une journaliste très fameuse. Elle avait même dû arrêter ses études pour pouvoir se consacrer à la carrière. Parfois, elle s’offrait de me donner un coup de main : elle était très gentille, mais sans plus. Tout se limitait au boulot… Parfois, nous faisions un petit bout de chemin ensemble, en rentrant à la maison, ensuite nos vies se séparaient. Je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre de cette femme-là.

En regardant en arrière, je me rends compte que j’ai été stupide, mais à ce moment-là je ne voyais aucun signe d’intérêt de sa part. Par contre, il y avait une autre femme qui était très intéressée à moi… Il s’agissait d’une professeure qui m’avait été présentée par un ami. J’étais sorti deux fois avec elle, juste dans l’espoir qu’elle me laisse tranquille ensuite… Mais évidemment cela n’avait pas été une bonne idée. En effet, il s’était passé ce qu’il ne fallait pas qu’il se passe… Elle était tombée amoureuse de moi, elle m’avait embrassé et nous avions eu un rapport sexuel.

Le jour suivant, comme si elle l’avait fait exprès, ma belle collègue blonde est venue au boulot avec un très joli tailleur bleu pervenche qui lui allait très bien. Ce jour-là, elle devait présenter les résultats de son travail à toutes les équipes hébergées dans l’open space. Je n’ai pas pu m’empêcher de la complimenter sur son tailleur devant tout le monde, ce qu’elle a visiblement apprécié. Que puis-je faire ? J’adore les femmes bien habillées… J’ai ensuite assisté à sa présentation avec intérêt. Lorsqu’elle parlait, elle n’arrêtait pas de me regarder et de me sourire…

Une fois sa présentation terminée, elle était encore pleine d’énergie et elle a repris à travailler. J’aurais peut-être dû éviter de le faire, mais je suis resté aussi au bureau… Je ne suis pas quelqu’un qui commet des adultères, mais ce petit tailleur bleu me rendait fou… Elle était très jolie, ma collègue blonde… Et en outre, je voulais aussi me débarrasser le plus tôt possible de l’autre femme que je venais de connaître, et dont je ne lui avais pas parlé, c’est clair. Au début, la soirée se passait comme toutes les autres, après à un moment donné nous nous sommes retrouvés assis l’un à côté de l’autre…

Et son bras frôlait le mien… Rien ne s’est passé, jusqu’à quand nous sommes sortis du bureau et nous avons commencé à marcher au long de notre petit chemin. En effet, quand nous sommes arrivés au feu, nous nous sommes aperçus qu’il était trop tard, et que ma collègue avait raté son dernier train… Je lui ai donc proposé de monter un instant chez moi, comme ça j’aurais pu prendre les clés de ma voiture et ensuite la déposer chez elle. Je me suis dit aussi que, peut-être, elle n’aurait pas voulu rentrer chez elle non plus.

Je vous le répète… Je ne suis pas quelqu’un qui commet des adultères. Si une relation ne fonctionne pas, je préfère une rupture nette. De toute façon, je ne sais pas ce qui se passait cette soirée-là, il y avait de la magie dans l’air, et nous sommes restés longtemps sur mon canapé… Après, nous avons mis de la musique, et après encore nous avons ouvert une bouteille de champagne…

Et désormais, nous ne pouvions plus revenir en arrière, nos corps s’imbriquaient et notre plaisir montait… Nous avons fait l’amour toute la nuit… Je ne m’attendais rien de spécial, juste la sensation de me sentir désiré par une belle femme… Parce que je dois avouer que toutes les autres belles femmes avec qui j’avais été n’assuraient pas vraiment au lit. Ma collègue, en revanche, je peux vraiment affirmer qu’elle assurait… Le matin suivant nous étions épuisés, nous avions à peine dormi une demi-heure… Mais j’étais heureux. Je n’avais pas non plus honte d’avoir trompé l’autre, même si c’était la première fois que je le faisais.

Nous sommes allés au bureau séparément. Elle, vers 8 h 30, moi un peu plus tard, vers 9 h 30… Entretemps, j’avais pris la décision de quitter l’autre femme que j’avais connue juste dans la même période. En effet, il n’était pas très correct de le faire juste après avoir connu ma collègue, mais au même temps ce n’était pas non plus le cas de repousser la décision. La nuit que j’avais passée avec ma collègue m’avait permis de clarifier définitivement les choses. Et, même si ma collègue n’avait voulu qu’une aventure d’une seule nuit, j’aurais accepté sa décision…

Mais j’étais sûr que ce n’était pas le cas. Malheureusement, en arrivant au bureau, j’ai tout de suite remarqué la Clio rouge de la femme avec qui j’avais commencé à sortir depuis peu… J’ai eu un mauvais pressentiment, et tout à coup, j’ai eu mes jambes en coton… Je suis monté dans l’ascenseur, et j’ai commencé à paniquer car je craignais d’avoir été découvert. Quand enfin je suis arrivé au bureau, mes peurs se sont matérialisées : les deux femmes étaient assises l’une à côté de l’autre. La professeure et ma jolie collègue étaient là et me regardaient, les yeux pleins de colère.

Ma belle collègue m’a juste dit “Tu as des visites”… Alors que la professeure m’a donné une forte gifle devant tout le monde, elle s’est tournée vers l’ascenseur, elle est revenue en arrière, elle m’a donné une deuxième gifle et ensuite elle est disparue. Je ne l’ai jamais revue, mais ça, ça n’a pas été un problème. En revanche, ce qui m’a dévasté, c’est que quelques jours après, ma jolie collègue a aussi quitté le bureau, sans laisser aucune trace. Je ne l’ai pas vue depuis.